Lampe Hashira 柱 naturel – Cerisier en fleurs

640,00 

Au Japon, le début du printemps est le moment de la fête du hanami – de hana 花 “fleur”, et mi 見 “regarder”. Un rituel annuel et immuable qui voit les Japonais affluer dans les parcs et jardins pour s’assoir sous les somptueux cerisiers en fleurs.

Un pied de lampe en «bois de bout» (tronc scié dans la largeur) de merisier brut, enchâssé dans un carré d’acier patiné et ciré.

Abat-jour en papiers japonais chiyogami, sérigraphies sur fond naturel : le premier, de branches de fleurs de cerisier rouges et de vaguelettes, rehaussé de doré; le second, en dentelles de fleurs dorées.

Ampoule LED fournie.

Nos abat-jour sont toujours réalisés en série limitée de deux à trois exemplaires.

Disponible sur commande

UGS : LH014 Catégories : , ,

Description

Un pied de lampe en «bois de bout» (tronc scié dans la largeur) de merisier brut, enchâssé dans un carré d’acier patiné et ciré.

Le merisier, arbre commun de nos bois, est la souche première dont descendent nos cerisiers de culture. Ses petits fruits, les “merises”, font le délice des oiseaux qui en propagent les graines. C’est de là qu’il tire son nom latin de « prunus avium » : cerisier des oiseaux.

L’Abat-jour est réalisé avec deux papiers japonais chiyogami, sérigraphies sur fond naturel : le premier, de branches de fleurs de cerisier rouges et de vaguelettes, rehaussé de doré; le second, en dentelles de fleurs dorées.

La lampe Hashira 柱 est construite sur le principe du carré, récurrent à L’Atelier Villard, Le bois de bout est la section centrale du tronc de l’arbre et chaque cerne de croissances nous indique un cycle de croissance annuel : du point central jusqu’aux cernes les plus externes, toute la vie de cet arbre est écrite sous nos yeux.

Ce motif du carré fait référence à l’épais pilier central en bois autour duquel étaient édifiées les anciennes maisons japonaises : le daikoku bashira 大黒柱. Cet axe supportait le poids du bâtiment et lui permettait de résister aux secousses sismiques et aux typhons.

Le mot a plusieurs origines :

  • Daikokuten : une des sept figures du bonheur dans les croyances shintô, c’est une des divinités du foyer.
  • Hashira (pilier) : mot de comptage pour les arbres et le bois mais aussi pour les dieux dans l’animisme shintoïste. Dans un Japon où l’on croyait que les dieux habitaient les arbres et les forêts, il n’est pas étonnant que ce pilier central en bois ai été vénéré dans la maison. Hashira, le mot évoque encore aujourd’hui un sentiment de stabilité, et reste profondément enraciné dans l’esprit japonais.