« Je te salue vieil océan » n°1

Rupture de stock

Un objet lumineux en noyer, papiers japonais washi et éclairage LED, réalisé en hommage à la mémoire de l’ethnologue Jean Cuisenier, normand de cœur, navigateur sur les mers mais aussi sur les océans de la pensée. Proche de Claude Lévi-Strauss et de Raymond Aron, il fût directeur du Centre d’ethnologie française et conservateur en chef du musée national des Arts et Traditions populaires.

Cette pièce a été sélectionnée au Concours Ateliers d’Art de France 2021 et présentée au Festival de l’Excellence Normande (FÊNO) 2021, à Caen.

Matières : Noyer et papiers washi
Dimension : 75 cm (hauteur) x 55 cm (longueur) x 45 cm (largeur)
Eclairage :

  • LED : puissance 32w / 3120 lumens
  • Température : blanc chaud (3000K)
  • Indice de rendu de couleurs (IRC) > 90
  • Indice de protection : IP20

En savoir plus sur l’art du papier au Japon sur le blog de Marielle Brie : > Le papier de la paix – Histoire du papier japonais washi

Nous contacter pour devis d’expédition

Catégories : ,

Description

« Être Normand c’est être tourné vers l’océan, les pieds ancrés sur la terre et les yeux fixés à l’horizon.
On ne peut vivre proche de la mer sans que naisse en soi le désir d’aller au loin.
Et l’on se prend parfois à rêver que l’on aperçoit les côtes anglaises derrière ces nuages qui traînent au ras de l’eau.
Illusion ? Peut-être…
Mais comment ne pas avoir envie de bondir sur les vagues à bord d’un bateau, de franchir les rouleaux, de quitter la côte pour prendre le vent et aller découvrir ce qui se passe là-bas, dans les lointains ?
Au Brésil, comme l’ont fait Gonneville et les marins de Honfleur, tout près d’ici ? Ou plus loin, vers le Canada, comme Champlain ? »

Plus  qu’une invitation au voyage, l’objet lumineux « Je te salue vieil océan » est une invitation à l’espace. Il nous suggère de naviguer vers ce qui ressemble à une pause dans le temps, à un intervalle ou à un vide dans l’espace. Un temps et un espace fondamentaux à partir desquels la vie s’organise et grandie. Un voyage dans un « vide » qui n’est plus l’absence qui sépare, mais bien le rythme, le décalage, la variation, qui relient les choses entre elles. Ce n’est qu’au sein de la vacuité que le mouvement devient possible, nous dit Le livre du thé de Okakura Kakuzô.

En savoir plus sur l’art du papier au Japon sur le blog de Marielle Brie : > Le papier de la paix – Histoire du papier japonais washi