Lampe Shôji 障子

1.400,00 

La lampe Shôji 障子 est une pièce unique.

Matières : Noyer et papiers washi
Dimension : 1,31m (hauteur) x 45 cm (longueur) x 24 cm (largeur)
Eclairage :

  • LED : puissance 20w/2150 lumens
  • Température : blanc chaud (3000K)
  • Indice de rendu de couleurs (IRC) > 90
  • Indice de protection : IP20

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Description

La lampe Shôji 障子 est une pièce unique de la collection de luminaires Komorebi 木漏れ日.
Le terme “Komorebi” 木漏れ日 désigne, en japonais, cette qualité particulière qu’acquière la lumière en passant à travers les branches des arbres.

Cette création est le fruit d’une recherche plus poussée dans le jeu des matières et des lumières. Les dimension de la pièce permettent de rechercher plus de “complications” techniques, d’autres degrés dans la lecture formelle et esthétique, une plus grande subtilité dans les jeux d’ombres et de lumières.
Une complexité jamais compliquée ni ostentatoire, qui nous cherchons à dévoiler dans la discrétion et l’élégance.

Trois différents papiers washi ont été travaillés dans notre lampe. Chacun a été créé à la commande et à l’unité par Benoît Dudognon, installé à Arles. C’est un des seuls artisans d’art français à maitriser et à explorer les techniques du papier dans la tradition des maîtres japonais. Benoît et Stéphanie Dudognon fabriquent un papier écologique artisanal à partir du mûrier à papier (le kozo), récolté localement, suivant la méthode traditionnelle japonaise. “L’Atelier Papetier” fait partie des éco-acteurs de la Réserve de Biosphère de Camargue.

Découvrez l’art de L’Atelier Papetier sur Youtube

En savoir plus sur l’art du papier au Japon sur le blog de Marielle Brie : > Le papier de la paix – Histoire du papier japonais washi

Les shôji 障子 sont les cloisons coulissantes, en papier monté sur des cadres de bois, qui servent à séparer les pièces intérieures des maisons japonaises de l’extérieur.
Originaires de la Chine des Tang (618–907), elles étaient alors construites en bambou et servaient à se protéger du vent. À l’époque Heian (794-1185), le terme shôji ou fusuma no shôji désignait seulement un panneau coulissant en papier opaque, plus proche du fusuma actuel. Ce n’est qu’à l’époque Kamakura (1185-1333) que les deux notions sont clairement définies : les panneaux opaques sont les fusuma (ils cloisonnent l’espace intérieur), et les translucides, les shôji (séparent de l’extérieur).
Traditionnellement, le papier shôji est composé de fibres de Kozo (mûrier), de Mitsumata (edgeworthia à papier) ou de Ganpi (wikstroemia).