Console Aishou 愛妾
« La concubine »

Console Aishou 愛妾 « La concubine », en orme champêtre et valchromat rouge.
Console Aishou 愛妾 « La concubine », en orme champêtre et valchromat rouge.
Console Aishou 愛妾 « La concubine », en orme champêtre et valchromat rouge.
Console Aishou 愛妾 « La concubine », en orme champêtre et valchromat rouge.
Console Aishou 愛妾 « La concubine », en orme champêtre et valchromat rouge.
Console Aishou 愛妾 « La concubine », en orme champêtre et valchromat rouge.
Console Aishou 愛妾 « La concubine », en orme champêtre et valchromat rouge.

Console Aishou
« La concubine »

愛妾

Une console dans l’esprit de notre modèle Shibumi 渋み avec ses tiroirs en valchromat rouge, montés sur glissières soft-close, mais installée sur un pied triangulaire qui lui confère une élégance très différente.

L’essence de bois travaillée ici est un orme champêtre (ulmus minor). C’est arbre de haute futaie qui a aujourd’hui pratiquement disparu d’Europe de l’Ouest en raison de la maladie hollandaise de l’orme.

Dimensions : 1,20 m x 40 cm x 85 cm (hauteur)
Tarif :

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Table en manière de console Shintô 神道

Grande console Shintô 神道 en frêne, par l'Atelier Villard.
Grande console Shintô 神道 en frêne, par l'Atelier Villard.
Grande console Shintô 神道 en frêne, par l'Atelier Villard.
Grande console Shintô 神道 en frêne, par l'Atelier Villard.
Grande console Shintô 神道 en frêne, par l'Atelier Villard.
Grande console Shintô 神道 en frêne, par l'Atelier Villard.
Grande console Shintô 神道 en frêne, par l'Atelier Villard.

«Table en console» Shintô

神道

Une autre version de notre console Shintô, cette fois ci intégralement en frêne dans une finition naturelle.
Cette pièce ne tient que par ses assemblages réalisés aux ciseaux à bois et chevillés en bois de cormier. Le piètement est simplement huilé tandis que le plateau a reçu la finition d’une matine cellulosique appliquée au tampon de mèches de coton, qui le protège et lui donne un aspect vernis brillant.
Pièce unique créée pour les Journées Européennes des Métiers d’Art 2021.
Dimensions : 2,10m x 50cm x 85cm (hauteur)
Torii 鳥居, le portail

La forme générale de notre console évoque le torii 鳥居, ce portail traditionnel qui marque l’entrée des sanctuaires shintoïstes.

Séparation symbolique du monde matériel et du monde spirituel, chaque torii traversé lors de l’accès au sanctuaire doit être retraversé dans l’autre sens afin de revenir dans le monde matériel. Il n’est pas rare, d’ailleurs, de voir les Japonais contourner un torii lorsqu’ils pensent ne pas repasser par cet endroit.

Le motif du carré

Récurrent à l’Atelier Villard, il fait référence à l’épais pilier central en bois autour duquel étaient édifiées les anciennes maisons japonaises : le daikoku bashira 大黒柱. Cet axe supportait le poids du bâtiment et lui permettait de résister aux secousses sismiques et aux typhons.

Le mot a plusieurs origines, Daikokuten : une des sept figures du bonheur dans les croyances shintô, c’est une des divinités du foyer. Hashira  (pilier) : mot de comptage pour les arbres et le bois mais aussi pour les dieux dans l’animisme shintoïste.

Dans un Japon où l’on croyait que les dieux habitaient les arbres et les forêts, il n’est pas étonnant que ce pilier central en bois ai été vénéré dans la maison.

Hashira : le mot évoque encore aujourd’hui un sentiment de stabilité, et reste profondément enraciné dans l’esprit japonais.

Tarif :

3200 €

Console Yuugen 幽玄

Consoles

Console Yuugen 幽玄

Les pièces de la collection Yuugen 幽玄 sont des créations graphiques où prédominent les lignes, les angles et les surfaces planes de l’acier et du bois.

Bois bruts ou brûlés, acier patiné et ciré, notre recherche est celle d’une sobriété et d’une simplicité qui laissent pleinement s’exprimer les matières.

Yuugen 幽玄, un concept esthétique

Le terme Yuugen 幽玄 pourrait se traduire par la beauté profonde, l’élégance discrète ou le charme subtil.

C’est un concept de l’esthétique japonaise appliqué aux arts, plastiques et scéniques, à la littérature et à la poésie.

Le yuugen renvoie à la compréhension et l’évocation nostalgique de la beauté mystérieuse du monde. Il ne s’agit pas de faire appel à l’imaginaire ni de décrire la réalité concrète, mais de percevoir le monde comme doté d’une profondeur implicite que les artistes peuvent exprimer subtilement.

Le motif du carré

Le motif du carré est récurrent à l’Atelier Villard.

Il fait référence à l’épais pilier central en bois autour duquel étaient édifiées les anciennes maisons japonaises : le daikoku bashira 大黒柱. Cet axe supportait le poids du bâtiment et lui permettait de résister aux secousses sismiques et aux typhons.

Le mot a plusieurs origines, Daikokuten : une des sept figures du bonheur dans les croyances shintô, c’est une des divinités du foyer. Hashira  (pilier) : mot de comptage pour les arbres et le bois mais aussi pour les dieux dans l’animisme shintoïste.

Dans un Japon où l’on croyait que les dieux habitaient les arbres et les forêts, il n’est pas étonnant que ce pilier central en bois ai été vénéré dans la maison.

Hashira : le mot évoque encore aujourd’hui un sentiment de stabilité, et reste profondément enraciné dans l’esprit japonais.

Guéridon Shibumi 渋み

Autres mobiliers

Guéridon Shibumi 渋み

Le guéridon est coordonné à la console Shibumi 渋み. Il est réalisé dans le même noyer, tronc d’un seul et même arbre.

Le veinage magnifique de ce bois noble et rare se déploie pleinement.

Il s’organise autour de trois tiroirs dont deux sont fictifs. Le tiroir centrale unique est en valchromat rouge (panneau en fibres de bois coloré dans la masse), équipé d’un système à glissières, avec fermeture douce et amortie.

Le piètement du guéridon est en acier patiné et ciré.

Histoire de notre noyer

Ce noyer a été coupé lors d’un chantier de construction à Gacé (Orne). Il a ensuite été récupéré par une scierie locale qui l’a débité avant de le stocker pendant plus de quinze ans.

Cet arbre magnifique avait été oublié lorsqu’il a été acquis par l’Atelier Villard en 2019. Fidèle à notre principe de renouveler et de préserver les essences locales, deux jeunes plants de noyers ont été replanté chez nous.

Shibumi 渋み , le "raffinement subtil"...

Traduit littéralement, le terme japonais Shibumi 渋み désigne un goût amer, astringent. Pourtant, cette traduction ne rend compte que d’une part infime de ce que sous-tend le mot dans sa langue et sa culture d’origine.

Le concept de Shibumi 渋み suggère l’idée d’un raffinement subtil, présent sous des apparences les plus banales. Une conscience de l’impermanence qui régit le monde et amène à penser que le style et la forme sont l’essentiel, que le fond n’est qu’une illusion transitoire.

Bien plus qu’une simple sensation gustative ou qu’une notion esthétique, dans ce simple mot fusionnent des notions issues du bouddhisme zen, de l’histoire et de la société japonaise, de l’univers du goût et des sensations, de l’art et de la création. Un terme décidément intraduisible en un seul mot dans notre langue.

Console Shintô 神道

Consoles

Console Shintô 神道

La console shintô 神道, est une création graphique où prédominent les lignes, les angles et les surfaces planes de l’acier et du bois. Un rappel de l’écriture japonaise, à la fois primitive et complexe.

Le plateau est réalisé avec deux bois brûlés et/ou huilés : le merisier et le frêne (pour l’insert en bois de bout).

Le piètement est en merisier naturel et en acier patiné-ciré. Ce bois tire vers le rouge/orangé avec l’âge.

Torii, le portail shintoïste

La forme générale de notre console évoque le torii 鳥居, ce portail traditionnel qui marque l’entrée des sanctuaires shintoïstes.

Séparation symbolique du monde matériel et du monde spirituel, chaque torii traversé lors de l’accès au sanctuaire doit être retraversé dans l’autre sens afin de revenir dans le monde matériel. Il n’est pas rare, d’ailleurs, de voir les Japonais contourner un torii lorsqu’ils pensent ne pas repasser par cet endroit.

Le motif du carré

Le motif du carré est récurrent à l’Atelier Villard.

Il fait référence à l’épais pilier central en bois autour duquel étaient édifiées les anciennes maisons japonaises : le daikoku bashira 大黒柱. Cet axe supportait le poids du bâtiment et lui permettait de résister aux secousses sismiques et aux typhons.

Le mot a plusieurs origines, Daikokuten : une des sept figures du bonheur dans les croyances shintô, c’est une des divinités du foyer. Hashira  (pilier) : mot de comptage pour les arbres et le bois mais aussi pour les dieux dans l’animisme shintoïste.

Dans un Japon où l’on croyait que les dieux habitaient les arbres et les forêts, il n’est pas étonnant que ce pilier central en bois ai été vénéré dans la maison.

Hashira : le mot évoque encore aujourd’hui un sentiment de stabilité, et reste profondément enraciné dans l’esprit japonais.

Console Shibumi 渋み

Consoles

Console Shibumi 渋み

La console Shibumi 渋み est réalisée en noyer, à partir du tronc d’un seul et même arbre.

Cette pièce est exceptionnelle : le plateau, réalisé d’un seul tenant dans le tronc du noyer, déploie pleinement le veinage magnifique de ce bois noble et rare.

Les tiroirs en valchromat rouge (panneau en fibres de bois coloré dans la masse), sont équipés d’un système à glissières, avec fermeture douce et amortie.

Le piètement de la console est en acier patiné et ciré.

Histoire de notre noyer

Ce noyer a été coupé lors d’un chantier de construction à Gacé (Orne). Il a ensuite été récupéré par une scierie locale qui l’a débité avant de le stocker pendant plus de quinze ans.

Cet arbre magnifique avait été oublié lorsqu’il a été acquis par l’Atelier Villard en 2019. Fidèle à notre principe de renouveler et de préserver les essences locales, deux jeunes plants de noyers ont été replanté chez nous.

Shibumi, un "raffinement subtil"...

Traduit littéralement, le terme japonais Shibumi 渋み désigne un goût amer, astringent. Pourtant, cette traduction ne rend compte que du sens propre de ce mot, loin de ce qu’il sous-tend réellement dans sa langue et sa culture d’origine.

Le concept de Shibumi 渋み suggère l’idée d’un sens subtil caché sous des apparences qui ne le laisse pas deviner. Une conscience de l’impermanence qui régit le monde et ses créations. Il nous suggère que le style et la manière sont l’essentiel, que le résultat n’est qu’une illusion transitoire.

Bien plus qu’une simple sensation gustative ou qu’une notion esthétique, ce simple mot fusionne des notions issues du bouddhisme zen, de l’histoire et de la société japonaise, de l’univers du goût et des sensations, de l’art et de la création. Un terme décidément intraduisible en un seul mot dans notre langue.

Prix indicatif :

(sur demande)